Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les 4 ailes du désert 2010

Albums Photos
Archives
4 mars 2010

Jeudi 18 février

9h00 départ pour le Stade de France.

P1040280

Tout le monde est heureux mais un peu tendu!!!!

10h00 arrivée au Stade de France ; il y a déjà beaucoup de 4l et pour se garer, on arrive à négocier une place en première ligne pour pouvoir être admiré de toute part!!!! Pour l'occasion, parents et amis sont venus nous voir. On ouvre le capot de Pumbi et tout le monde est sous le charme! Quel beau moteur! Magnifique! Superbe! on dirait un neuf! (==> MERCI ASSISTANCE GROS NOUNOURS!!!!!)

P1000580P1040320P1040300

12H30 briefing général, remerciements, blabla, 4............3...............2...............1..............TUTUTUTUTUTUTUUTUTUTUTUT!!!! C'est parti!! les premières 4L quittent le Stade de France.

13H15 c'est à notre tour!!! Tous phares allumés, klaxons à fond! c'est parti!!!!! A la descente du Stade la police fait la circulation (un peu obligé car 1000 4L à évacuer ne se fait pas en 10 minutes!!)

Ca y est on est sur le périph, les klaxons chantent à tue-tête!!! On est tout de même sur nos gardes ; nous avons hâte de retrouver l'autoroute!P1040277

UN SPONSOR EN OR : 15 minutes après avoir quitter le Stade de France, notre sponsor qui devait nous livrer nos tee-shirts, nous appelle pour nous dire que ces derniers sont prêts. Trop tard, nous sommes parti! Mais NON, ce dernier veut absolument nous les donner, car il nous les avaient promis. C'est alors avec gentillesse qu'il s'est déplacé jusqu'au péage de Saint Arnoult pour nous les donner. Encore un grand merci a Monsieur Lopes de s'être démené pour que l'on puisse partir avec nos tee-shirt et casquettes! et pour Info Design HIP HIP HIP HOURRRAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!

P1000593

(Photo prise sur la bande d'arrêt d'urgence juste après le péage de Saint Arnould)^^

Ca y est on a passé le péage, 2 km après ce dernier, une voiture est arrêtée sur la bande d’arrêt d’urgence et fume blanc. On s’arrête, on va voir les gars pour leurs dire de couper le contact car c’est le joint de culasse.

Ouf une voiture de sécurité est justement là sur l’autoroute. Ils sont tout de suite pris en charge !

On continue. La route est super salée et les voitures sont toutes sales ; le lave glace est beaucoup sollicité.

P1000610

Deuxième arrêt on nous demande un cardan. Nous n’en n’avons pas et conseillons à l’équipage de trouver un garage plutôt que d’attendre pour trouver un cardan qu’ils ne sont pas sûr de savoir changer.

Les kilomètres passent et le jour diminue. Vers 21h30 nous approchons de Bordeaux ; au péage, des 4L ! Un coup de klaxon et c’est un véritable concert qui suit ! Cela a bien fait rire les caissières. Nous décidons de chercher un hôtel pour la nuit. 22h30 tous le monde au dodo ; il faut se reposer car demain la journée sera longue.

Bonne nuit Pumbi!

Publicité
4 mars 2010

Vendredi 19 février

6h00 réveil ! Allez hop une petite douche pour avoir les idées claires.

7h30 sur le parking ; la nuit a été froide et humide. Pumbi a du mal à démarrer. On fini par trouver la petite astuce pour la faire démarrer  (on réduit l’arrivée d’air à l’entrée du filtre à air).

On roule maintenant vers l’Espagne, on croise des 4L encore et toujours.

11h00 on arrive à la frontière. Dernière halte en France pour passer quelques coups de téléphone. L’équipage qui nous suit a un problème de ventilos: ils ne tournent plus ! C’est un peu, beaucoup embêtant, surtout qu’en Espagne les voitures ont du mal dans les montées. è c’est bon, on a trouvé le coupable ! Le fusible ! Bon aller 20 ampères ça devrait suffire.

14h00 petite pause déjeuné un peu avant Burgos, nos mascottes en profitent pour faire des photos souvenirs.

P1000652

17h30 arrivée à Madrid dans les embouteillages, ce n’est pas grave! Ca nous laisse le temps de bien étudier les panneaux et aux automobilistes espagnols de nous admirer. Passé Madrid, la nuit commence à tomber. Nous roulons jusqu'à 21h00 où nous nous octroyons une petite pause casse-croûte. Allé hop, réchaud, casserole, vite, vite, vite il ne faut pas trop s’éterniser car nous devons encore rouler.

21h30, nous repartons direction Bailén ; 22h30, les yeux commencent à piquer, on ouvre les fenêtres, musique à fond pour se réveiller.

23h30 Bailén enfin ! On décide tout de même de pousser jusqu’à Jaén.

0h30, arrivé dans la région de Jaén, on décide de s’arrêter pour dormir. Cette nuit, l’hôtel sera la voiture. Hop, sac de couchage, couverture de survie, gros pull. Courage, la nuit va être fraîche !!!

4 mars 2010

Samedi 20 février

6h30 Réveil ! il fait froid et les courbatures sont là ! Hop on plit tous !

7h30, les voitures chauffent, c’est parti direction Grenade, la route est plus agréable le jour et le paysage est remplis d’olivier. D’ailleurs dehors ça sent fort l’olive ! Courage pour ceux qui n’aiment pas ^^.

Bien évidemment, toutes les deux heures, une pause s’impose !!!! c'est que ça boit ces petites bêtes là!!!!!

P1000680

Grenade passée, direction Malaga, le thermomètre commence à monter et on quitte nos pulls. Bizarrement, le chauffage qui jusqu’à présent n’avait pas fonctionné, fonctionne… On commence à voir la mer; on longe la côte, allez encore quelques kilomètres. C’est bon, on voit les drapeaux, on est arrivée !!!! (Enfin juste à Algésiras).

C’est bon, on a le Road Book, aller hop direction le Carrefour investit pour l’occasion par plein de français, tous venus en 4L….

15h : rendez-vous dans la zone de bivouac pour le premier briefing ; les numéros de 1 à 700 prennent le bateau ce soir, pour arriver au Maroc sur les coups de 20h, heure local (une heure de moins par rapport à l’heure française).

Pour les autres (donc nous J) ce sera les deux autres bateaux de 6h30 et 7h00 ; rendez-vous donné au port à 5h J

La nuit sera courte!!!!

Bon allé; on prend quelques photos de ce champ de 4L. On en regarde certains anticiper les épreuves du Maroc. Ah! il a de la chance, il a trouvé quelqu'un qui a bien voulu sacrifier ses baskets pour aller accrocher la sangle.

P1000719

Pendant ce temps, on discute de l’embreyage de Koala (la voiture orange qui roule avec nous et que l’on voit sur les photos). Et oui ce dernier fait un bruit d’enfer, au passage de la première et de la marche arrière. En plus la voiture n’a pas beaucoup de patate (dans les côtes, ou terrains un peu mou). Après quelques minutes de réflexion èon verra demain…

Bon allé dernière photo pendant qu’on est encore frais et hop direction l’hôtel pour profiter d’une dernière douche et d’une dernière nuit dans un lit douillet...

P1000725

Bon 17H direction l'hôtel, on retrouve notre petit parking surveillé. En plus notre chambre donne sur ce dernier. Pendant que nous enlevons crique et manivelle du capot et que nous sanglons la batterie, un équipage vient nous poser une question.

Enigme: "on a un bruit dans le moteur depuis Paris et on ne sait pas d'où cela vient?"

Il allume le moteur et là ni une ni deux, Emilien trouve d'où vient de problème: "il vous manque une vis à votre alternateur c'est pour ça!".

Réponse de l'équipage: "t'es un Dieu" J

(Pour ma part, après mur réflexion je vais oublier mon idée de troque avec des chameaux alorsJ).

4 mars 2010

Dimanche 21 février

4h00 Réveil, la nuit fut très courte. On émerge comme on peut, on ferme les sacs et on se dirige vers la voiture. Dehors, de véritables seaux d’eau nous tombent sur la tête! Sachant que la place nous manque dans la voiture, nous mettons du temps à ranger nos affaires et inévitablement nous finissons trempés !!!! Ouf c’est bon on est dans la voiture. Bon direction le port. « C’est par où déjà ?? » Si c’est bon on s’en souvient; on reste très prudent car il pleut énormément et la visibilité est réduite.

4h30 on arrive au port, déjà beaucoup de voitures attendent. En attendant que tout le monde arrive, on finit notre nuit.

DSC_0577_1_

6h30 ça commence à bouger, on avance petit à petit. Finalement on sera les premiers à rentrer dans le deuxième bateau. Ouf les formalités administratives seront vite réglées.

7h00 on est dans le bateau, le frein à main est bien serré ; on court faire les papiers à la police ; on est tellement rapide qu’ils ne sont même pas prêt. Pour ce qui est des papiers pour la voiture ces messieurs les douaniers nous feront le plaisir de nous faire attendre pendant 1h le temps qu’ils prennent leurs petits déjeunés. Résultat certains au bout des 3h de traversée n’auront toujours pas réglés leurs papiers.

DSC_0617_2_8h00, le bateau est complet, on peu partir.

Pendant la traversée, il y avait beaucoup de vent et la mer était quelque peu agitée.

Nous passerons alors, la totalité pour Emilien et une partie pour moi, de la traversé sur le pont afin de s’aérer.

11h30 on est devant le port de Tanger ; mais nous ne pouvons pas accoster pour des raisons « indépendante de notre volonté » comme ils disent. Il faudra alors patienter jusqu'à 12h30 pour pouvoir accoster.

13h00, nous sortons du bateau, aller hop, direction l’autoroute. Il faut avoir les yeux partout, il y a beaucoup de circulation et des piétons qui traversent n’importe comment.

DSC_1051_1_13h30, on est sur l’autoroute, sur les bords on peut voir des vaches, des moutons, et chèvres en bordures où l’herbe est bien verte. Des marocains traversent l’autoroute à pied ou à vélo ou marchent sur la bande d’arrêt d’urgence et le terre-plein central.

Les pauses s’enchainent et les kilomètres passent. Il ne faut tout de même pas trainer car il faut 8h pour rejoindre le bivouac. Dans les villages à coté de l’autoroute, les enfants nous font coucou.

Dernière pause avant de quitter l’autoroute ;  on croise un couple de retraités en camping car, qui nous complimentent sur notre action et nos voitures. Bon! ce n’est pas tout mais nous sommes déjà en retard.

18h00 on quitte l’autoroute. La nuit tombe très vite et nous traversons les villes au pas car elles sont peu éclairées et les piétons y sont nombreux. Pour rajouter un peu de difficulté les routes sont en travaux.

21h00 Il pleut et parfois c’est de la neige qui tombe. La route est sinueuse et monte. On ne voit pas ce qu’il y a autour mais à mon avis dans les virages, le vide n’est pas loin.

Tout d’un coup une énorme quantité d’eau boueuse arrive sur la voiture! La route est inondée et d’énormes flaques d’eau se forment. Résultat: nous découvrons une fuite dans le plancher qui nous trempe une partie de nos affaires.

21h45 (heure local, pour Paris c’est 22h45), nous arrivons enfin au bivouac.DSC_1456_1_

Le vent souffle très fort. Alors que les garçons sont partis avec les jerricans pour faire les pleins, nous installons les tentes. Pas simple avec ce vent. On s’envolerait presque avec.

Avec du mal (le terrain est rempli de cailloux) on arrive à fixer les tentes. Bon 23h00 au dodo. La nuit va encore être fraîche.

4 mars 2010

Lundi 22 février

DSC_1647_2_6h45 Réveil. La nuit a été mauvaise car le vent s’engouffrait dans la tente. On pli tout. Il faut reprendre l’habitude: sac de couchage, matelas, tente, c’est bon on a pas perdu la main.

8h00 on va au briefing car celui de la veille avait été annulé. è Pour aujourd’hui la pisteest annulé car il y a eu trop de pluie. Ce sera donc une journée de route.

8h15, on vérifie les différents niveaux : eau, huile, liquide de frein, lave glace. Tout est OK !!!!

8h30, c’est parti……….. On passe sous le portique de pointage et hop direction Er-Rachidia.

DSC_2105_1_Le temps est magnifique et le paysage merveilleux ! A la réflexion c’est beaucoup mieux de jour que de nuit. On traverse les premiers villages, les enfants nous font coucou et s’amassent autour des voitures qui s’arrêtent.

Vers 12H30 petite pause pour tout les monde ; on trouve un endroit sympas avec, devinez quoi autour? des 4L ! Nous profitons de cette pause pour nous restaurer et prendre quelques photos. En contre bas, se trouve une petite oasis où certains prennent leur douche (ils ont du courage car elle est fraîche).

P1000878

13h15 nous repartons. Le temps est un peu long car nous ne faisons que de la route mais les paysages sont là pour compenser.

Ah, Zut ! Plus d’essence. Bon allé, c’est parti : warning, jerrican, entonnoir et nous voila parti pour 3 bonnes minutes de « iglou, iglou, iglou ». Ah je crois que c’est bon; j’en ai plein les chaussures! Bon et bien c’est reparti. En direction du bivouac des panneaux mystérieux bordent la route. Mais quelques kilomètres plus loin, tout s’explique ; nous avons retrouvé Albert le dromadaire en compagnie de ces cousins.

      

17h00 nous arrivons au bivouac. Comme hier, on ne change pas une équipe qui gagne: les filles pour l’aménagement des tentes et les garçons pour l’essence. Le terrain est un peu sableux, les voitures ont du mal à manœuvrer.

18h30, tout est vérifié pour les voitures et les tentes sont prêtes. On se dirige tranquillement vers les tentes berbères où est servi le repas.

19h00, briefing, 19h15 bourse aux échanges (elle permet de demander de pièces pour réparer les voitures), 19h30 diner.

Vers 21h00 nous rejoignons les tentes car demain nous partons à 7h30.

Publicité
4 mars 2010

Mardi 23 février

6h30 Réveil. La nuit a été meilleur que la veille à part quelques petits malins qui se sont amusés à jouer du klaxon juste derrière notre tente vers 2h et 5h du matin. Mais ce n'est pas grave la vengeance est un plat qui se mange froid....

Bon allez c'est reparti pour l'opération pliage et rangement. L'équipage à côté de nous, a des petits soucis pour ranger leur tente. Et oui! les tentes Quechua c'est 2 seconde pour les déplier mais entre 2 et 20 minute pour les plier, alors petit conseil, avant de partir à l'aventure, n'hésitez pas à vous entrainez dans votre salon.

Avant de partir, nous passons à coté des tentes de nos camarades de la veille pour faire retentir notre vengeance, à coup de klaxon version vieux tacot.

7h30 c'est parti pour cette fois de la piste. Emilien est au volant et moi-même au road-book et à la boussole.

Au début il y a pas mal de 4l sur notre chemin, mais au fur et à mesure que l'on avance dans la piste; elles se font de plus en plus rare. Notre tactique: ne pas suivre les autres et croire en notre cap.

Apparemment cela marche car nous réussissons à contourner un bac à sable géant dans lequel plusieurs 4l ont décidé d'aller faire un petit tour.

On continu notre route, tout va pour le mieux et nous arrivons à Merzouga vers 10h45 (et oui l'étape a été courte car nous devons déposer les fournitures et effectuer le passage des dunes).

11h00: nous nous sentons plus léger avec nos 50 kilos de fournitures en moins. Pumbi a repris un peu de hauteur et notre espace vital se retrouve quelque peu agrandit. Bon, allez, direction les dunes. On dégonfle les pneus (1,3 bar) et on attend.

11h30: c'est à notre tour!!! Nous prenons le parcours n°3, la copilote est au volant et le pilote aux informations (et oui chacun son tour, il y a deux ans c'était l'inverse).

Allez il faut prend son élan car on commence par une petite butte: 3.............2...............1............ GO! GO! GO! GO! GO!

Pumbi s'élance! Fond de première et c'est parti! on passe le premier virage, on profite d'une descente pour passer la deuxième, ventilos en marche forcé et encouragement à tout va, Pumbi continu son parcours. Ah, une montée: je reste en deuxième ou je repasse la première? Bon allez première. Oups! Erreur: on avance plus... bon bah tu pousses :)

Allez hop, Emilien sort, dégage les roues avants, pousse un peu, et nous revoilà reparti. Bon allez on a compris, fond de première et quand on peut on passe la deuxième et on ne la lâche plus! Bon et bien apparemment ça marche. Nous finissons l'épreuve de dunes sans problème. Bravo Pumbi!!!!

(Euh juste petite précision : j'ai fais mieux que le copilote qu'il y a deux ans: un ensablement cette année contre deux il y a deux ans....)

P1000899Bon allé, on va poser la tente, on part à la recherche d'un petit coin d'ombre, car il fait super chand! Ah enfin, nous trouvons un petit coin sympa. Allé, on pose la voiture, on installe la tente et hop direction la douche!

Bon cette année les tapis berbères qui séparaient les douchent, ont été remplacés par des bâches en plastiques noirs et épais; je vous laisse imaginer la chaleur dessous! En plus pour une fois il y avait de l'eau chaude, voire même un peu trop chaude. A la sortie des douches, tout le monde était en mode écrevisse...

13h00, hum il se fait faim et à l'ombre de notre petit palmier, petit pic-nic improvisé, il fait super chaud.

Il fait vraiment très chaud, nous décidons de faire une petite sieste à l'ombre des voitures sur les plaques de désensablage. Et bien oui, il faut bien qu’elles servent à quelque chose, ce n’est pas de notre faute si on est doué et que l'on ne s'ensable pas :)

DSCN7982

15h30: bon on va peut être s'occuper de Pumbi. Alors, il faut ranger l'intérieur, regonfler les pneus et aller remplir le jerrican. Emilien ayant marre de passer 30 minutes à attendre pour faire le plein décide d'inverser. Je pars alors faire le plein, mais manque de chance pour lui, il aurai dû y aller car cela ma pris 5 minutes :)

16h00: bon, on va se le faire ce petit tour de dromadaire? Bon allez hop c'est parti pour un quart d'heure. Sur notre chemin, nous croisons la protection civile, parti faire une intervention, au niveau du sixième palmier à droite. (Nan, en réalité, il s'agissait d'un petit moment de détente).

P1010027 P1010053

17h00: remise officielle des fournitures scolaires. Au total, 78,5 tonnes de fournitures ont été ramenées par 1200 4l, c'est 18,5 tonnes de plus que l'année dernière. C'est ENORME!!!!!

17h30: échange de cartable et dessin avec les enfants venus pour l'occasion.

P1010049

19h00: petit apéro ;), aux pieds des voitures, on raconte les exploits de la journée.

20h00: diner avec musique sous les tentes berbères; l'ambiance est bonne enfant et tout le monde est ravi.

DSC_5776_1_

22h00 direction les tentes, nous passons par le PC mécanique, nous croisons un joint de culasse, un embrayage, un relai qui a fait cramer tous les faisceaux électrique et autre soudure de châssis.

22h30: dernier coup d'œil au ciel étoilé et hop direction les sacs de couchage.

Bonne nuit Pumbi.

4 mars 2010

Mercredi 24 février

P10009578h00 : Réveil, et oui, aujourd’hui c’est « grasse mat’ », dernière petite douche, et hop direction le petit déjeuner servi comme la veille sous les tentes berbères.

9h00 : tout est rangé mais une question se pause : Comment va-t-on sortir ? Et oui nous nous sommes installés mais nous avons été quelque peu, encerclé par des tentes et des 4l (c’est un peu le cas de tout le monde). Bon alors, on va toquer aux tentes pour pouvoir dégager le passage. Ouf c’est bon, ce n’est pas le chemin le plus cours mais on fait comme on peut.

9h 30, c’est parti ! Copilote au volant et pilote à la boussole (il faut bien inverser de temps en temps). Le temps est magnifique et il fait déjà super chaud.

Aujourd’hui l’orientation est assez difficile car il y a beaucoup de changement de cap. Nous roulons et pour le moment tout va bien ; nous sommes avec 3 autres 4l ; nous continuons notre chemin, quand tout d’un coup ; nous voyons des voitures revenir en sens inverse.

Apparemment ce n’est pas le bon cap, car le puits à visé est ici. On se replace bien alors sur le road-book et on prend le cap qui nous semble être le bon. Au loin, en haut d’une colline de cailloux quelques 4l ; nous allons dans leurs directions. Nous sommes environs 7, 8 voitures. Certains pensent ne pas être dans la bonne direction. Allé hop, on sort la carte, bon et bien non, cela m’a l’air d’être bon ; continuons. Nous, on suit notre cap, nous embarquons avec nous 3 autres 4l.

Nous roulons, vingt minutes plus tard, nous voyons de la poussière au loin, ça, ça sent la 4L !

On continu de suivre le road book, tiens c’est bizarre il y a beaucoup de sable par ici, à en croire le road-book nous sommes au début des bacs à sables. Bon bah, comme d’habitude, fond de première, ventilos en marche forcée et dès que possible on passe la deuxième. Bon, il ne faut pas pour autant quitter le road-book des yeux car les changements de cap nous permettent d’éviter des zones très « molles ». Bon sinon au passage on se prend toutes les herbes hautes et buissons du coin qui nous arrachent les fixations du câble de frein à main.

P101012413h30, nous avons passé la moitié des bacs à sables et nous en profitons pour faire une petite pause et rattacher comme on peut, les câbles qui pendent sous le châssis.

14h00 c’est reparti, il ne faut pas trainer car personne n’est à l’abri d’un souci technique ou d’une erreur de cap. On prend son élan et on passe la deuxième partie du bac à sable avec succès. L’équipage qui nous suit, lui à décider d’y rester apparemment un peu plus longtemps. Une fois sorti du bac, nous nous arrêtons pour aller les aider.

On loin nous voyons, le deuxième check-point secret, nous y passons. C’est rassurant! Au moins nous sommes sur la bonne route! Bon alors que dit le road-book : roulez en direction de la porte bleue. Bon et bien comment dire, en plein désert les portes sont rares mais alors bleue en plus… Nous décidons de rouler en direction d’un village, il doit surement y avoir une porte bleue ?? Au final nous, nous retrouvons dans leurs parcelles de champs. Bon et bien demi-tour. Après quelques kilomètres d’hésitation nous suivons un cap que nous pensons juste. Au loin nous voyons des 4l revenir, arrivée à notre niveau, ces dernières nous disent que ce n’est pas le bon chemin. Nous sommes un peu hésitant, nous regardons autour de nous et que voyons nous? la porte bleue, enfin bleue, de loin elle fait blanche et encore, faut-il qu’elle soit fermée pour la voir…

Bon nous, on continu dans cette direction. Une vingtaine de kilomètre plus loin, nous recroisons une 4L la roue en l’air. Nous nous arrêtons pour savoir si ils ont besoins d’un coup de main. Au final, nous leurs vendrons une roue, car il venait de crever leurs 3ème roue de secours…. Bon et bien courage les gars, en espérant que celle là soit la bonne J

16h30, nous finissons par quitter la piste progressivement pour retrouver un semblant de route qui nous mènera jusqu’au bivouac.

17h00, arrivée au bivouac, nous sommes dans les 100 premières voitures à être arrivée, comme d’habitude, premier réflexe, le plein d’essence. Pendant que j’attends, pour remplir notre jerrican, Emilien regarde notre petit soucis de réservoir, car il semblerait que ce dernier fuirait. Au final, rien de grave, il ne s’agit que d’une fuite au niveau du tube qui descend au réservoir.

Une fois la corvée de l’essence terminée, nous soulevons la voiture pour refixer les câbles de frein à main.

17h30 : MALHEURE!!!! Nous nous apercevons que notre support de suspension est cassé.

P1010123

Ni, une, ni, deux, direction le PC mécanique, pendant qu’il n’y a pas encore trop de monde.

Juste à coté de nous, un équipage, a le même problème et pour ce qui est de la voiture de devant, cette dernière a fait le grand chelem, elle a fait les 4 !!!!

Nous commençons, à préparer la voiture pour faciliter le travail des mécanos.

19h00, toujours rien, la première voiture prend beaucoup de temps et les mécanos sont sans arrêt interrompu par des demandes d’autres équipages plus ou moins vitales.

P101013420h00, toujours rien? Bon bah ! Apéro ! A la roue de Pumbi.

20h30, voilà, voilà, voilà, toujours rien…. Ça commence à être long.

21h00, on commence à s’occuper de la voiture qui a cassée les 4 supports. Pour notre part, on se relais, on va voir les autres équipages pour savoir si l’on peut les aider ou si ils ont besoins de certaines pièces ou outils.

23h00, la première voiture est à moitié finie et le gros poste à souder vient de rendre l’âme. Il ne reste donc plus qu’un poste à souder pour la dizaine de voiture qui attend son tour….

0h45, l’équipage qui est à coté de nous est enfin pris en charge.

1h45, bon et bien les gars bonne nuit, nous c’est notre tour ! Enfin !!!!! Pendant que le mécano ressoude notre support, nous nous rendons compte que notre amortisseur est bloqué et que ce dernier est la cause de la casse. Résultat, petit conseil, ne mettez pas des fortunes dans des amortos dit « spéciale pistes » au final ils se bloquent et voilà le résultat, préférés plutôt une bonne paire de « pompe à vélo ».

2h30, le support est réparé, mais il faut maintenant trouver une nouvelle paire d’amortisseurs. Pas si simple à 2h du matin en plein milieu du désert. On va au camion mécanique et on nous dit qu’un marocain est juste à coté et qu’il vend des pièces.

Heureusement pour nous, nous avons eu la dernière paire d’amortisseurs qu’il restait. A mon avis ce soir là, il a bien rentabilisé son petit business. Car vu le nombre de personne qui recherchait des pièces, il a du repartir la camionnette vide de pièces mais les poches pleines d’argents !

2h45 : c’est bon, on a nos nouveaux amortisseurs il n’y a plus cas les remplacer. Pour ce qui est du premier, pas trop de souci, car il a été retiré quand le support était cassé. Pour le deuxième, c’est une autre paire de manche, s’agissant d’amortisseur à gaz, super dur à compresser, il nous a fallu l’aide de trois criques et d’une chandelle (un crique et une chandelle pour soulever la voiture, un crique pour soulever le bras arrière et un crique pour dégager l’amortisseur) pour en venir à bout, après plus de 30 minutes d’acharnement !

4h00, c’est bon, Pumbi est sur ces 4 roues !!!! Maintenant, direction LE SAC DE COUCHAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!

La nuit va être très, très courte !

4 mars 2010

Jeudi 25 février

6h45 les yeux piquent, la nuit a été très courte. Nous replions nos affaires.

7h30 : briefing, celui de la veille avait été annulé car beaucoup de 4l n’étaient pas rentrées à l’heure de ce dernier.

Les dernières 4l ont finis l’étape d’hier dans la nuit ou encore, sont arrivées ce matin à 7h. C’est sur que, déjà en plein jour il est difficile de s’orienter mais alors en pleine nuit avec les bacs à sable que l’on ne voit pas, la tâche a dû être dure.

8h00 : les premières voitures partent pour la piste de la journée marathon, c'est-à-dire que ce soir aucun bivouac n’est organisé. La seule règle à respecter est de ne pas rouler pendant la nuit. En attendant notre heure de départ, nous réfléchissons s’il est prudent de prendre la piste ou pas? Au final après réflexion nous jugeons qu’il est préférable de prendre la route afin de pouvoir préserver notre petite Pumbi qui a déjà bien souffert la veille.

10h30, c’est l’heure de notre départ. Nous annonçons que nous allons prendre la route.

Nous rejoignons les autres voitures qui décident de prendre la route. Parmi ces dernières se trouve un segment qui risque de lâcher, des supports de suspensions affaiblis, des longerons ressoudés, des problèmes de train avant et bien d’autres.

11h30 n’ayant pas d’informations de l’organisation, nous prenons la route. Nous roulons avec l’équipage qui était à coté de nous la veille au PC mécanique.

La route est agréable et les paysages magnifiques. Nous roulons direction Agde. Vers 14h30 nous faisons une petite pause à l’ombre car dehors il fait super chaud. L’équipage avec qui nous roulons, tente de faire cuir des pâtes. Au total cela leurs aura pris 20 minutes et ces dernières étaient très al denté J

P1010159

15h30 nous arrivons à Agde. Nous roulons maintenant vers Ouarzazate, la route est sinueuse et monte pas mal. Dans le col, la seconde est de rigueur si nous ne voulons pas reculerJ.

Vers 16h30, nous arrivons à Ouarzazate. Nous sommes à la recherche d’un hôtel ou d’un camping pour passer la nuit. Très vite, l’idée du camping est oubliée car nos collègues, que nous avons rencontrés la veille, on leur matelas de percé. En cherchant un peu nous trouvons le quartier des hôtels. Tiens ! Un hôtel Ibis, si on allait voir !

On rentre, le prix est correct (440 dirham soit environ 40€). Nous nous accordons donc ce petit plaisir bien mérité.  Bon et bien en tout cas entre la France et le Maroc, pour une même chaine d’hôtel, il y a 40€ et une piscine d’écart. Moi je dis "vive les Ibis marocain".

P1010169

17h30, nous sommes posés dans la chambre, hop, direction la douche dont nous abuserons légèrement voire même ENORMEMENT. Car après avoir passé une journée sous la chaleur des pistes et une nuit dans la poussière du PC mécanique, sans compter la journée de route, la douche est plus que relaxante ! En allant récupérer quelques affaires qui restaient dans la voiture, nous croisons des équipages qui étaient passés par la piste et qui étaient parvenus jusqu’ici ; et bien nous avons bien fais de prendre la route car la piste était vraiment cassante pour les voitures et nombres d’entre elles étaient sur les côtés pour divers problèmes, nous disent-ils.

19h30, nous craquons pour l’option restaurant de l’hôtel et l’entrecôte grillée +frites. Les salades de thons et soupes déshydratées auront perdu le combat pour ce soir.

21h00 on tombe de sommeil,

21h02 zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

4 mars 2010

Vendredi 26 février

8h30 : Réveil ! Nous avons dormi comme des loirs. Nous rangeons nos affaires et attendons l’équipage avec qui nous avons fait la route la veille.

10h00 : Tout le monde est prêt pour partir ; il nous reste environs 250 kilomètres, mais nous devons passer le col de Tichka qui nous prendra beaucoup de temps.

P1010198

Sur la route, nous voyons plus de 4l qu’hier, car celles qui ont pris la piste sont aussi en direction de Marrakech. Certaines d’entre elles ont un petit air penchés alors que d’autres roulent en « cowboy ».

12h00 nous arrivons à avoir des nouvelles des l’équipage Koala (la voiture orange avec qui nous sommes partis). Ces derniers partent de Zagora où ils ont fait réparer leur longeron qui c’était cassé la veille dans la piste.

14h30 : Nous arrivons au check point de Marrakech !

P1010208Nous échangeons notre road-book contre notre billet pour l’hôtel. Pour information, nous ne pouvons pas garder le road-book car il fait référence à des pistes militaires qui sont fermées en temps normal. Comme il y a deux ans, il est plus difficile de trouver le cap de l’hôtel que les caps des jours précédents. Bon on laisse tomber leur plan plus que symbolique et on demande à un policier où se trouve l’hôtel le Palm Plaza. Bon, en faite on était sur la bonne route mais pas dans le bon sens…

Comme il y a deux ans, nous, nous retrouvons au bout de l’avenue Mohamed VI où se trouvent les hôtels en construction. Ouf, le notre est terminé, mais bon tout autour nous voyons des constructions.

Nous arrivons et nous garons derrière les autres 4l déjà arrivées. Pour l’instant peu d’équipages sont là. En rentrant dans l’hôtel nous retrouvons nos deux compagnons de route avec qui nous roulons depuis 2 jours. Bon et bien  nous avons de la chance car sur les 12 hôtels, nous arrivons à nous retrouver. Nous apercevons la piscine qui nous fait envie pendant que nous remplissons les papiers d’usages.

Nous, arrivons dans notre chambre, elle est superbe ! Ca change de la tente il n’y a pas photo…

16h00 hop, on saute dans nos maillots de bain ! 16h10 on s’approche de la piscine mais on ne saute pas pour autant car l’eau est un peu fraîche. Bon et puis zut ! Un peu de courage !

16h15 dans l’eauJ. Et bien il faut juste être courageux au début, après ça vaJ.

16h30 on est sur les transats, bon on pourra dire que l’on s’est baigné. C’est sympas, de la où l’on est on voit les montagnes enneigées ;  alors que, où nous sommes, il fait environs 25 degrés.

Un peu plus tard, nous avons des nouvelles de l’équipage Koala, ils sont actuellement dans le col de Tichka et pensent arriver vers 20h00 à Marrakech. Ils pensent aussi avoir un problème avec leur roue arrière car cette dernière frotte dans les virages. Nous convenons de nous retrouver quand ils seront arrivés à leur hôtel.

En attendant l’heure de diner, nous retrouvons un autre équipage que nous connaissons (Geoffrey et Clément) avec lesquels nous discutons de l’étape marathon autour d’un petit verre. Ces derniers ont eu un peu de casse pendant l’étape, ils ont cassé leur moteur Pantone (qui était un système qui permettait à la voiture de fonctionner quand elle était chaude avec de la vapeur d’eau), ils ont aussi cassé un silent bloc de pot et d’amortisseur. Au final pas de super bon souvenirs de cette dernière étape.

20h00 : il commence à se faire faim…

On descend au restaurant ou nous attend un buffet gargantuesque. Bon bien évidement crudités on oublis même si elles font envies…. Ce n’est pas grave, on se rattrape avec le délicieux couscous qui nous est proposé. Nous passerons un diner sympathique en compagnie de nos deux compagnons de route.

21h30 : nous avons des nouvelles de l’équipage Koala, ils sont arrivés au check point mais une file de plus de 100 voitures est devant eux. Nous remontons à la chambre pour attendre leur appel quand ils seront arrivés à leur hôtel.

23h00 : endormis devant la télé, nous entendons le portable sonner. Vu l’heure tardive, les réparations seront reportées à demain.

23h05 : zzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzZZZZZ…

4 mars 2010

Samedi 27 mars

8h30 : Réveil.

9h00 : Petit déjeuner, comme la veille, le choix est gigantesque…

10h00 On cherche à rejoindre l’équipage koala, l’amortisseur à la main, nous sommes près pour le dépannage express, le souci : plus de taxi.

Au loin, une 4l local (marocaine) est arrêtée. Nous faisons le tour, elle est superbe, aucune bosse et toute pimpante. Le propriétaire s’approche, nous le complimentons sur sa 4L. Il nous propose de nous déposer quelque par avec. Pourquoi pas c’est mieux qu’un taxiJ.

On monte dans le 4l, le proprio s’installe pour la démarrer sauf que rien, il tourne la clé mais « houaïlou ». On lui dit qu’il s’agit surement du démarreur. Nous prenons l’amortisseur que nous avions à la main pour faire une réparation maison (en tapant sur le démarreur).

P1010213

10 minutes plus tard, arrivée à l’hôtel de l’équipage Koala, petite photo souvenir avec notre taxi VIP J, Regardons les dégâts, bon et bien tout est un peu tordu, la soudure du longerons à été faite de travers ce qui explique le petit côté penché de la roue. Bon et bien cela devrait tout de même tenir pour le chemin du retour.

11H00, direction le souk ! On se balade dans les petites rues magnifiques remplies de couleurs et de senteurs. (Senteurs un peu trop fortes parfois surtout au niveau des savons, ça prend à la gorge, il faut s’accrocher). Bon alors premier achat, un service à thé moyennement bien négocier, mais bon c’était l’échauffement !!! Allé, on continu, on cherche les plats à tajine, on nous indique une petite boutique au fond du souk, le vendeur est très gentil et a un grand choix de poterie, nous effectuerons donc tout nos achats chez lui, car comme ils disent, « plus tu en prends, moins ce sera cher ». Nous repartons les mains pleines de sacs, à la réflexion, nous aurions dû les acheter en dernier, cela nous aurait économisé nos forces. Bon maintenant direction un tanneur pour un pouf et des portefeuilles, le tout très bien négocié J

13H30, nous quittons le souk les mains pleines et content d’avoir assez bien négocié.

14H30 la terrasse de l’hôtel, nous appel, on se pose au bord de la piscine et on commande de quoi se remplir l’estomac, au menu, ce sera panini. 30 minutes plus tard, toujours rien, à enfin les voilà miam miam, à la réflexion, pas tip top les paninis. Bon ce n’est pas grave, on profite du cadre, ah farniente…

P1010222

17H30 on se prépare pour la soirée chez Ali, il y a beaucoup de monde, mais le beau temps n’est  pas au rendez-vous, ce n’est pas grave, c’est la dernière soirée et il faut en profiter.

Remise des prix, remerciements et à table !!! Bon l’entrée on zap (salade de tomates) mais le restes miam, couscous !!!!

23H30, fin de la soirée en musique, nous repartons tranquillement direction l’hôtel car demain le lever est prévu à 6H00.

00H30, extinction des feux.

Bonne nuit Pumbi.

Publicité
1 2 3 4 5 6 > >>
Les 4 ailes du désert 2010
Publicité
Publicité